Nous étions une bonne quinzaine hier soir pour le 2ème cours de Fabrice à l'Espace Magnan.
Un Fabrice qui a su, après une mise en train, nous montrer comment la ville passe d'un espace fermé à un espace ouvert, d'une ville contrainte par ses murailles à celle qui s'organise autour de ses axes de communication.
Si nous doublons nos participants à chaque séance, d'ici septembre, il nous faudra Acropolis
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1 commentaire:
Vraiment, vouloir parler de la ville d'aujourd'hui sans faire un petit tour par le passé n'est pas cohérent...
Pèle mêle quelques réflexions...concernant la ville médiévale toute consacrée à l'effervescence commerciale/artisanale, sans souci d'urbanisme, d'esthétique...sorte de preuve matérielle du "désordre" engendré par le libéralisme...se retrouve, me semble-t-il dans certaines zones industrielles contemporaines....
Concernant l'architecture...le beau....Fabrice soulignait que les gands monuments sont souvent le fait du Prince (y compris républicain...), bien dommage que les ex POS ou nouveau PLU ne laissent pas suffisamment d'espace à l'expression artistique...il faut des maisons avec des façades d'un nuancier qui va de telle couleur à telle couleur, avec des tuiles rondes, avec des volets verts....et on obtient des km de petites maisons légo, ou d'immeubles de 4 étages... evidemment, j'ai bien conscience qu'il faut quelques règles pour éviter que ce soit l'anarchie totale...mais entre l'anarchie et le réglement d'urbanisme trop strict...il n'y aurait pas la possibilité de trouver un juste milieu...qui permettrait à certains architectes de rompre la monotonie y compris en matière d'urbanisme à usage d'habitation ou commercial.
Nathalie
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